Une œuvre d'art est bonne quand elle est née d'une nécessité.

C'est la nature de son origine qui la juge.    Rainer Maria Rilke

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2023. Merci aux revues ARPA, Les Carnets d'Eucharis et Spered Gouez pour l'accueil de mes textes et poèmes dans leurs pages.

hmd

 

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Les Intercalaires de Georges Cathalo. N° 14 : De quelques poètéditeurs…

 

Un article de Georges Cathalo sur le site de la revue Décharge de ce 21 juillet 2023. Avec quatre notes de lecture il revient sur les récentes parutions

"de quelques "poètéditeurs" : Louis Dubost, Yves Artufel, Hervé Martin, Jean-Louis Massot,"

Merci à la revue Décharge et à Georges Cathalo.

 

https://www.dechargelarevue.com/No-14-De-quelques-poetediteurs.html

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

De belles rencontres artistiques au cours de cette journée en présence de visiteurs intéressés.

 

Ci-dessous, La moisson des livres pauvres qui ont été réalisés sous le regard d'un public attentif.

 

 Rendez-vous l'année prochaine !

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30 novembre 2022. Ci-après, les revues Cairns, Concerto pour marées et silence, Décharge, Haies vives et Mot à Maux que je remercie pour l'accueil de mes textes dans leurs pages durant l'année 2022. Les revues sont de véritables laboratoires pour les écritures contemporaines, des lieux ouverts sur la diversité de la poésie qui s'écrit aujourd'hui. Il faut les soutenir !

Merci à Cécile Guivarch pour sa note de lecture de "Sous l'odeur des troènes" que l'on trouve dans sa chronique  Hep! Lectures fraiches sur le  site " Terre à ciel" 

Sous l’odeur des troènes, Hervé Martin, éditions unicité

Écrire au plus près des hommes : Hervé Martin mène ce projet de livre en livre. Évoquer celui qui est au soir de sa vie, celui qui trouve un gite, ceux qui travaillent ou gardent quelque chose de l’enfance, sans oublier ceux qui subissent des insultes, l’exil et les inégalités. Rassembler tous ces êtres qui ont su donner de leur chaleur, à qui on a souri, ou à qui on a tendu la main, dans un même livre. Sous l’odeur des troènes rassemble des textes d’Hervé Martin écrits sur la durée. Certains textes sont des extraits de livres déjà édités aux éditions Henry (Toutes têtes hautes et Et cet éprouvé des ombres), en anthologie ou en revue.

Ecrire au plus près de la mémoire, écrire le quotidien et les gestes, écrire les êtres au travail. Une œuvre qui témoigne d’une grande attention à l’autre et aux émotions que l’autre procure à l’auteur. Ce qui retient, c’est la présence de la lumière tout le long de ce livre. Cette lumière : ce peu en chacun est pourtant si réelle. Il est toujours question d’avancer, de marcher, tendus vers la lumière. « Je les regarde », juste cela, ce regard sur les hommes, cette quête de dire au plus juste l’émotion qui le gagne en regardant les autres évoluer. Sensible à l’histoire singulière des êtres, ces hommes, dont certains font partie des siens, mais qui sont avant tout une grande famille humaine. Dans les poèmes d’Hervé Martin, je note la présence du moi et des hommes et ce sont ces derniers qui en quelques sortent forgent la mémoire de soi. L’empreinte des vivants. Toujours avec ce regard d’enfant qui reçoit les fragilités du monde, de la vie. Des textes dédiés portant des prénoms dès le titre. Des corps, notamment au travail - souvent des travaux de campagne - mais aussi le maître ou le mécano, le facteur ou l’ouvrier. Tous ces hommes qui se lèvent le matin pour aller travailler, éprouver les corps, sueur, fatigue et personnes courbées. Des hommes et des femmes qui sont ensemble rassemblés par leurs métiers, travaillant tous les uns pour les autres. Des migrants : thème qui apparaît au début du livre et puis revient au fil du texte. Une émotion vive pour ces émigrés venus chercher la « douceur du nouveau monde ». L’écriture d’Hervé Martin est par ailleurs pleine de tendresse, même lorsqu’il réagit pour un monde meilleur. Le désir de « revenir en chemin de mémoire » orchestre l’ensemble avec l’idée que même si la mémoire demeure, les choses passées ne reviennent pas, ni ceux qui ne sont plus.

 

Qui peut                  mieux que les corps
d’une femme                  un homme
allant         nus         dans         la         nuit
incarner la rose                 de nos vies

Quand ils offrent                 aux regards
cet amble de bipède         Une démarche
face                 à l’obscurité du jour

 

Sachons voir en ce peu                  Cette
peau                 qui recouvre nos corps
nos visages incertains         et la naïveté
fraîche des yeux                 De ces corps
humains                 seulement la présence
Leurs pas         emmêlés dans les nôtres
une proximité         confondue à nos voeux

 

 

Cécile Guivarch

 

Site du Litteraire.com

 

Hervé Martin, Sous l’odeur des troènes

 

Du passé ne pas faire table rase

 

 

Hervé Mar­tin ramène ici les indi­vi­dus et les lieux du passé sans nos­tal­gie même si elle rap­proche en une once de dis­cré­tion et les mots les plus simples tous les dis­pa­rus et les lieux en ruine.
Chaque poème les met en scène par vignettes.

 

Les “êtres ensemble” se dis­patchent, de la cais­sière au coif­feur, du maraî­cher à l’enduiseur. Avant, renaissent Jules Lucie et les autres si bien que ce qui ne revien­dra plus se lève à nou­veau. La chair des poèmes pal­pite de vie et rejaillit “dans la tré­mu­la­tion des vers”.
Mar­tin fouille et inter­roge dans le flux des mots ce qui ayant été revit. Tout s’ébroue encore ou “gueule aux oreilles”.

 

Le tracé des vies coha­bite avec les murs des mai­sons dans le tres­saille­ment des jours et des mots. Dès lors, non seule­ment l’Imaginaire rede­vient épi­pha­nique mais trouve une extra­or­di­naire inten­sité.
Il garde une force para­doxale et inédite en cette der­nière mon­tée en puis­sance d’une poé­tique qui, certes et d’un côté, enlève l’illusion de la toute-puissance de l’être mais, de l’autre, ne le gomme pas. Au contraire.

 

Un tel livre (le plus fort d’Hervé Mar­tin) va inexo­ra­ble­ment vers la vie, loin d’un seul deve­nir imper­son­nel, molé­cu­laire. Et ce, par sai­sie dif­fé­ren­tielle pro­vo­quée par des images à l’odeur sonore qui mettent à bas les silences contraints.

 

 

jean-paul gavard-perret

 

 

Sur le site En Attendant Nadeau.

On sait Hervé Martin intéressé par la forme du poème, on le voit à l’œuvre dans ce livre découpé en trois parties qui se clôt sur le beau « À la clarté de l’ombre ». Les poèmes disent le quotidien, proposent une vision humaniste enchâssée dans une expérience de transformation de l’écriture. Une citation de Maurice Regnaut dans « Cette présence en nous », une adresse aux parents, éclaire la logique du livre. Une liste de prénoms, de titres de poèmes, précède ceux consacrés au commerce ambulant de proximité. Les silences et les coupes disent l’intérêt pour Lionel Ray, rythment les vers à la manière des cadences imposées par le travail. « Coffreurs », « Plâtriers » mais aussi « Cueilleurs » et « Jardiniers » contiennent le dur labeur. Il y a intervention sur la langue, découpe et agencement dans la page au risque d’un harassement. Le découpage se réduit avec « Trémulations ». La lecture s’apaise, finit en eau calme visuelle avec « Ce qui ne revient plus ». On est dans une littérature qui mise sur de nouvelles formes. Catherine Champolion

Sur le site de En attendant Nadeau une belle note de lecture de Catherine Champolion sur mon livre "Sous l'odeur des troènes ". Merci pour sa lecture !

https://www.en-attendant-nadeau.fr/2022/11/16/ecoute-7-farrokhzad/

ISBN/EAN : 978-2-37355-728-2 / 168 pages
Sous l'odeur des troènes

 

Juin 2022.

 

Sous l’odeur des troènes  vient de paraître aux éditions Unicité.

 

 

 

 

Tel un hommage à l’être humain prit dans les méandres de son existence, le livre partage des paysages de la mémoire et de l'enfance.

ISBN/EAN : 978-2-37355-728-2 / 168 pages.

 

Site Éditions Unicité.

 

Mars 2022. Mon livre "Origines du poème" vient de paraître aux éditions Au Salvart.

 

 

"" Tandis que la conscience du dire

 

ne peut former les mots

 

 

 

Seul le corps

 

connaît la profondeur des déchirures

 

 

 

Ce qui fait lien

 

dans les blancs        entre tes mots ""

 

 

 

 

27 Novembre 2021 , Achères

 

Pour cette cinquième édition des Journées du Livre Pauvre une quinzaine d'artistes et d'écrivains étaient accueillis pour créer les livres sous le regard attentif du public. Plus de 25 Livres pauvres ont été réalisé à la bibliothèque Multimédia Paul Eluard d'Achères (78) ce 27 novembre. Nous avons reçu un accueil chaleureux. Merci à Catherine Champolion et à toute son équipe !    hm

 

Ci-contre, les livres réalisés en collaboration avec Abdallah Akar, Dominique Lardeux, Marianne Le Vexier,  Louis, Sophie Patry et Anna-Tassou Redor.

 

Sur le site "Les Découvreurs"  on peut lire une note de lecture à propos de "Recouvrer le monde". Je remercie le poète et critique Georges Guillain pour sa lecture attentive!   Extraits de poèmes

 

Le Site Les Découvreurs.

 

19/11/2021 - Un salut amical aux différentes revues qui ont accueilli mes poèmes, texte et nouvelles en 2021: A L'Index, ARPA, Concerto pour marées et silence-revue, Comme en poésie, Écrit(s) du nord, Haies Vives, rumeurs et Traversées.  Je les remercie. Et n'oublions pas de soutenir les revues en s'y abonnant  !  hm

Le 1er Festival des mots "Les Feuilles d'Automne"  à la Bergerie de Rambouillet se déroulera les 15, 16 et 17 Octobre 2021. Je serai présent le 16 Octobre en compagnie de nombreux auteurs et artistes. Une  belle occasion de rencontres. Venez nombreux!

 

"" Des conférences à plusieurs voix, liées à la thématique du Festival des mots « Terres » qui seront co-animées par des auteurs, des professionnels du livre (libraires, auteurs, éditeurs) du Sud Yvelines et des artistes, artisans, musiciens, universitaires…""

 

RECOUVRER LE MONDE suivi de Zone naturelle vient de paraître aux éditions UNICITÉ (06/2021).

                    ___

 

La beauté des matières

 

 

Tu vois les feuilles qui bougent au vent

Pousses les branches sur ton passage

 

Le chèvrefeuille t’entête

 

Tu goûtes la mûre sur son roncier

Entends l’oiseau près du buisson

 

Laisse-toi envahir par le monde                

                                                                             (Photographie de Jean-Claude Bugny)

Il est encore temps de revenir vers les arbres

De cogner de ton pas cette terre de bruyère

 

L’oasis et l’éden y sont toujours présents

qui ouvrent pour toi la beauté des matière

                               __

On peut acheter le livre, de préférence sur le site des Éditions UNICITE et chez votre libraire habituel.

 

Je remercie Jean-Paul Gavard-Perret  pour sa note de lecture sur le site LE LITTÉRAIRE.

http://www.lelitteraire.com/?p=72165

 

Mes meilleurs vœux pour 2021 ! Que cette nouvelle année soit rapidement sans masque, sans confinement et sans Covid ! Pour retrouver notre liberté de s'étreindre, de s'embrasser, de respirer et de se déplacer en toute liberté! En amical partage. HM

30 octobre 2020

Je remercie les revues de poésie qui ont accueilli mes poèmes au cours de l'année écoulée. Des poèmes extraits de manuscrits inédits ou à paraître:

 

A L'Index,   Haies Vives,    Le Journal des poètes,    Phoenix,    Le revue Alsacienne de Littérature, Écrit(s) du Nord   et   Spered Gouez.  

 

J'en profite pour saluer l'ensemble des revues de poésie et encourager les lecteurs à les soutenir par des abonnements.   hm


L'année 2020 a apporté son train de mauvaises nouvelles, de toutes parts, sanitaires, sécuritaires, économiques et culturelles dont l'annulation d'une grande majorité de manifestations culturelles et de spectacles vivants. Annulations qui entrainent parfois aussi des issues funestes et définitives. C'est hélas le cas pour le Festival des Trouées poétiques créé par la poète Lydia Padellec. La 5ième édition n'aura pas lieu et cela met fin à une belle réussite qui avait su réunir à chaque début du printemps, de nombreux poètes et éditeurs de poésie au pays breton de Port Louis et Riantec près de Lorient. Merci à Lydia Padellec pour son engagement.

Malheureusement et pour cause du virus COVID 19  le 5ieme Festival Trouées poétiques a du être annulé! Rendez-vous l'année prochaine!

Les 13 et 14 mars prochain, je serai au prochain Festival des Trouées poétiques, en compagnie des poètes Claudine Bertrand, Gérard Noiret, Gabrielle Althen, et Marie-Josée Christien. Il s'agit de la cinquième édition du festival Morbihannais créé par la poète et éditrice Lydia Padellec. Merci de son invitation.

 

2020...

Le 17 octobre à Caen , en compagnie de Julien Boutonnier (poète ) et de Mélodia Exteandia ( Metteure en scène et dramathérapeute). Merci à Sanda Voica, poète, présente dans l'assemblée qui témoigne de cette journée par quelques photographies et une vidéo sur la présentation de Julien Boutonnier.

hm

 

https://traquequitraque.blogspot.com/2019/11/p20191102sanda-voica-assiste-le-17_2.html

https://traquequitraque.blogspot.com/2019/11/p20191102sanda-voica-assiste-le-17_87.html

https://traquequitraque.blogspot.com/2019/11/p20191102sanda-voica-assiste-le-17.html

https://traquequitraque.blogspot.com/2019/11/p20191102sanda-voica-assiste-une.html

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Une journée d'étude sur la " Vulnérabilité, Arts, Lettres et Sciences sociales, Regards croisés sur la poésie contemporaine" est organisée par l'université de Caen le 17 octobre. Je participerai à une table-ronde en compagnie de Julien BOUTONNIER (poète) et Mélodie ETXEANDIA (dramathérapeute, metteure en scène). Une table-ronde animée par Anne GOURIO et Hélène MARCHE.

Université de CAEN - 10h 18h - Journée d'étude.
Université de CAEN - 10h 18h - Journée d'étude.

Pour tous renseignements sur ce spectacle vous pouvez m'envoyer un message sur le site. Vous pouvez regarder l'enregistrement en quatre parties ci-dessous. HM

Joie de rejoindre Hervé Rémond et Dorothée Pinto sur la scène de l'auditorium John Cage, le mercredi 13 février prochain pour ce spectacle vidéo musiques chants et lectures écrit par Hervé Rémond autour de "Métamorphose du chemin". Si vous passez par là nous vous y rencontrerons avec plaisir!  HM

2019...

" L'humanité, nous la tenons fragile entre nos langues étranges! " A tous, je souhaite une très belle année 2019 !

Mardi 6 mars, 12h -Restitutions des résidences de création PoéZiences 2 &3
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Guyancourt - Bibliothèque universitaire / Auditorium
Projection, rencontres et restitutions PoéZiences #02 & #03.


Fin décembre 2017, les poètes Irène GAYRAUD et Hervé MARTIN ont terminé leur résidence dans les laboratoires scientifiques d’Hélène Brogniez (LATMOS à Guyancourt) et Hervé GUILLOU (LSCE à Gif-sur-Yvette). Après la projection des films de la première rencontre, les poètes font entendre une partie des textes que les Itinéraires poétiques leur ont commandés et échangent avec les scientifiques
et le public sur la perception qu’ils ont de l’univers et le travail des laboratoires qu’ils ont fréquentés.


Avec Irène GAYRAUD et Hervé MARTIN, poètes ;
Hélène BROGNIEZ et Hervé GUILLOU, scientifiques.


Avec la collaboration de l’Atelier des sciences de SQY et d’Éric CHASSEFIÈRE.


ENTRÉE LIBRE.

Le compositeur et contrebassiste  Hervé Rémond a mis en musique  un poème de "Toutes têtes hautes" et Transmigration extrait de l'ensemble Migrant. Il accompagne Dorothée Pinto lors d'un concert enregistré qui s'est déroulé dans la chapelle de l'ARCA à Saint Nazaire en Roussillon en 2014. Merci !

Dans le numéro 71 de la revue Diérèse, une note de lecture d'Olivier Massé . Qu'il en soit remercié!

  • Merci à  Cécile Guivarch pour sa note de lecture de "Dans la traversée du visage". Elle est accessible avec d'autres notes sur le site Terre à Ciel. !

Hervé Martin poursuit son cheminement poétique avec une poésie épurée pour dire le silence, l’absence, la mémoire, la nécessité des mots. Courts poèmes et vers brefs traduisent beaucoup d’émotion en peu de mots. Recueil après recueil, l’auteur est à la quête de souvenirs venant de l’enfance. Il montre comment l’écriture creuse et avance pour faire jaillir ou perdurer la mémoire.
« Les rêves / ne meurent jamais / et l’enfant en toi / veille ».
« Et tu fouilles le silence / pour remplir ta mémoire / du peuple de l’enfance ».
Le poème permet d’atteindre les différentes couches de soi et de « rester debout ». L’écriture est un « matériau élémentaire / pour colmater l’univers intérieur ». Au fil du recueil, le « mot » devient « pierre-mot » : jolie expression qui fortifie le poème, en résistant et en évitant le silence. Cela nécessite de se connaître : « Tu ne peux écrire / sans savoir qui tu es ».
Le lecteur se retrouve, cherche l’enfant qui ne le quitte pas. Il redécouvre cette question métaphysique que chacun se pose dès le plus jeune âge : « Qu’est-ce donc vivre ? »
L’écriture d’Hervé Martin est pleine de sensibilité. Elle nous invite à réfléchir. L’auteur marche dans les mots pour aller au centre de soi, y déchiffrer quelque chose d’aussi mystérieux que les nuages.

Et marcher dans les mots
qui avancent sur toi
vers le centre
précis de ton être

Tu te relèveras
le visage tourné vers le ciel
les yeux déchiffrant
la langue des nuages

 

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Merci à Pascal Boulanger, pour sa lecture de "Dans la traversée du visage"

 

""Les poèmes sont courts, comme peuvent être courtes les traversées qui mènent toujours de l'enfance à l'enfance des choses, comme dans ce poème :

 

"Rameuter
du pays de l'enfance
cette ardeur
qui demeure dans l'être
assoupie
Les rêves
ne meurent jamais
et l'enfant en toi veille"

 

L'ensemble de ces beaux poèmes d'Hervé Martin d'Igny "penche entre temps de mémoire et incertitude des lendemains", le présent n'étant que celui d'une nomination discrète et tendue vers l'impossible d'un visage.""

 

Pascal Boulanger

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11 avril 2017- Je remercie Jean-Paul Gavard-Perret pour cette belle note de lecture de "Dans la traversée du visage" que l'on peut lire sur le site Le Littéraire .com.

http://www.lelitteraire.com/?p=29860

Hervé Martin, Dans la traversée du visage

 

Passage au-dedans

 

Il existe un trouble volon­taire dans la Tra­ver­sée du visage. Hervé Mar­tin cultive une ambi­guïté assu­mée quant au “tu” vers lequel il se dirige. Le pro­nom est en par­tie — mais en par­tie seule­ment — réflexif : car ce dia­logue inté­rieur s’adresse à quelqu’un de plus vaste que le « moi ». Dès lors, la “dis­si­pa­tion des mots” per­met d’atteindre ou du moins d’approcher “l’épicentre du corps” à tra­vers leur miroir.
“Je” est donc un autre auquel le “tu” ren­voie pour s’en appro­cher. Il ne s’agit pas le reje­ter dans une fosse marine ou com­mune mais de rap­pe­ler sa faim. Le visage res­semble à un seuil pour atteindre la mai­son de l’être. Celle-ci devient une baraque en feu. Si bien que les cinq temps du livre forment un ora­to­rio où l’auteur se retrouve en com­pa­gnie de lui-même mais loin de tout rap­port égo­cen­tré. Hervé Mar­tin vit avec son dis­paru pour le rendre vivant. Si bien que chaque poème offre un por­trait particulier.

Le livre devient l’histoire du visage qui n’est tou­jours plus lui-même tout en se rap­pro­chant de sa vérité. Tout pour­rait sem­bler tour­ner en rond : mais ce n’est pas le cas. Ce que l’auteur déballe n’est pas for­cé­ment un cadeau mais un satel­lite pous­sié­reux qu’il s’agit de remettre sur orbite. Afin d’y par­ve­nir, “la mémoire / en ver­tige / fait des touches aux oublis”, elle est à la recherche d’autres mots qui sont non seule­ment “l’éclaircie du poème” mais de soi-même.
Qu’importe alors si jusque là le regard que le poète por­tait sur lui-même avait (par­tiel­le­ment) échoué. Peu à peu Hervé Mar­tin voit à l’intérieur de ses images comme au sein de sa propre “machine émo­tion” chère à Peter Gizzi. Aux limites de la vie et de la pen­sée, der­rière le trou du visage, il retrouve des pré­sences pal­pables. Entré en lui-même, il pro­voque une réunion ani­mée d’un fris­son pro­fond. Peu à peu, il atteint le vor­tex du foyer de son être : l’ouragan de nais­sance crée ainsi une météo de l’existence.

 

Jean-Paul  Gavard-Perret

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6 Avril 2017-

"Dans la traversée du visage " vient de paraître aux Éditions du Cygne. Merci à Valérie Loiseau qui a accepté que soit dévisagé ce "Visage en collage" pour la couverture du livre.

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""Composé de cinq ensembles, le livre ébauche les traits d’une représentation intime. Nourri aux arcanes de l’enfance et mu par le doute, il tente de révéler une figure intérieure.
Cette tentative pour atteindre les soubassements de l'être ne peut bien sûr pleinement aboutir, mais elle a le mérite d'avoir entraîné une trajectoire d'écriture féconde.
Le poème est alors un recours, quand le concret de l’écriture établit un territoire tangible et qu’il est une consolation par laquelle le poète reprend pied. Et si se retourner sur soi c’était se risquer au bord d’un précipice, il resterait contre l’adversité la seule voix du poème.""

 

Le  livre est disponible à l'achat sur le site de l'éditeur: http://editionsducygne.com/editions-du-cygne-dans-traversee-du-visage.html

Retrouveras-tu          la frêle

langoureuse indécision

de ces matins           emplis

de prometteuses    hypothétiques lueurs

 

qui te firent avancer         Alerte

vers ce pays

où nul         n'échappe

vivant.

 

Toutes têtes hautes - Éditions Henry

26/07/2016. Les éditons de l'Amandier et les éditions Éclats d'encre ont malheureusement cessé leurs activités en ce premier semestre de 2016!  Les livres "J'en gage le corps" et "Métamorphose du chemin", ne sont disponibles désormais que sur ce site. Le livre d'artiste né de la collaboration avec le peintre Marc Giai Miniet, "Comme une ligne d'ombre" est également disponible. Si vous désirez acquérir un de ces livres envoyez-moi un message Les livres vous seront envoyés sans frais d'envoi pour la France métropolitaine.

 

Diérèse N°67,

A l'index N° 30,

Traversées N°79,

Zone Sensible N°4,

Les Citadelles N° 21.

 

Merci à ces revues pour l'accueil de mes textes en ce printemps 2016!

 

Les revues ne résistent à l'époque que par les abonnements de leurs lecteurs! Soutenons- les!


Hervé Martin
vit près de Rambouillet. Poète, il est également travailleur social. Il a animé pendant plusieurs années un atelier d'écriture de poésie auprès de personnes présentant des handicaps psychiques ou intellectuels. Il a publié de nombreuses notes de lecture et poèmes dans des revues littéraires. Il a fondé en 1997 la revue de poésie Incertain regard, éditée par la municipalité d'Achères à partir de 2015.

Son dernier livre, Métamorphose du chemin, est paru en 2014 aux éditions Eclats d'encre.

 

 

 

Hervé Martin sera reçu par l'écrivain Gérard Noiret mardi 17 novembre à 20h.


A cette occasion, paraîtra le premier numéro de la revue en ligne incertain regard éditée par la municipalité d'Achères. 

 

Réservation conseillée à la bibliothèque ou par téléphone au 01 39 11 22 95

 

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08/02/2015 Une lecture de Jean-François Mathé de Métamorphose du chemin dans le numéro 117 de FRICHES qui vient de paraître. Merci!

 

Métamorphose du chemin est un titre que la suite de poèmes qu’il inaugure ne laisse jamais perdre de vue : chaque texte en réactive des significations multiples et lui donne de nouveaux éclairages.

A l’exception des deux derniers poèmes écrits à la première personne, le locuteur de tous les autres est un « tu », comme si le poète s’extrayait de lui-même pour mieux s’observer, s’interroger, et peut-être même reconnaître l’étranger qu’il devient à lui-même, à son histoire au fil du temps. Car si le chemin se métamorphose, c’est qu’avancer en lui c’est moins aller vers un but dans l’espace

 « Ce chemin que tu traces / un moment dans ta marche / […] Où mène-t-il »

que vers les questions que pose le cheminement temporel vers vieillir.

 

Découpé en cinq parties non titrées, accompagnant une marche qui n’exclut ni les trébuchements ni le « bancal », le livre, dans sa progression, sans les dramatiser, accumule des sensations de solitude, d’égarement, de séparation d’avec le passé, de déclins de lumière. Le début du chemin, c’est l’enfance qu’on voudrait revivre dans sa pleine clarté :

 « Tu voudrais revivre ce moment / de l’enfance dans l’été / quand le soleil au matin / réchauffait déjà les pavés de la cour ».

 

 Mais, plus loin, croit-on retrouver cette enfance (ou ce qu’il en reste), ce n’est qu’illusion,

,« lorsque tu crois retrouver ici / les troènes de l’enfance ».

 Reste à continuer dans ce que le monde, la nature offrent encore de beau, mais sans l’étreinte pure des premiers temps de la vie :

« Tous paysages / trompent notre regard »

et         « Partout un prédateur / est à l’affût de sa survie ».

 Mortes l’enfance et la jeunesse, le monde progressivement nous dépossède :

« Ce n’est pas le temps / qui nous vieillit / mais l’absence de ceux / qui nous accompagnèrent ».

 Tout se ternit et en nous une parole intérieure bourdonne, remuant le doute, mais aussi malgré tout le désir de trouver en elle, pour éclairer, alléger la marche inéluctable

« la légèreté des oiseaux […] / la matière du poème ».

Alors le chemin se métamorphose en creusement vers l’intériorité, vers la recherche de la poésie, elle qui seule peut-être permet

« les yeux tournés / vers les branches des arbres / [de surveiller] les signes / d’une éclaircie possible ».

Unité de ton, légèreté allusive des vers sont les caractéristiques essentielles d’un livre qui va, comme l’homme lui-même, sur son chemin de vie, vers des clartés qui ne seront qu’une brève ponctuation dans l’invasion des ombres.

 

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Merci à Roland Nadaus pour cette belle note de lecture disponible sur la site de la Maison de la poésie de Saint Quentin en Yvelines.

 

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Hervé Martin poursuit discrètement, trop discrètement, son œuvre forte. Mais Hervé Martin, s’il aime dire en public certains de ses textes, n’est pas un histrion ‒ de ceux que Théophile Gautier (déjà !) dénonçait et qui, plus de cent ans après, envahissent les petites vitrines des petites boutiques poétiques où l’on se congratule entre soi afin d’occuper toute la place…
Non, Hervé Martin, lui, est un véritable poète ‒ et un homme vrai. Il est de ceux qui prennent le terrible risque de mettre en accord leur parole et leur vie, leur œuvre et leur personne, leur présence sociale et leur vie intérieure.
Risque terrible en effet dans ces temps de contrebande où, du plus haut de l’État au plus bas des écrans, on ne voit et n’entend que tromperie sur la marchandise. Ce qu’on a appelé, référence oblige, le « pharisaïsme » ‒ pour rester poli.
Avec « Métamorphoses du chemin » Hervé Martin donne l’exemple contraire : fidélité, droiture, cœurs unis, paroles brûlante

comme la langue
du pays oublié

La sensibilité dont il nous avait déjà donné de beaux exemples de lyrisme contenu, maîtrisé, s’exprime ici avec force ‒ mais une force humble : celle des êtres vraiment fraternels. Bien sûr, les blessures de la vie s’accumulent avec l’âge, mais l’enfance est toujours là, avec ses joies et ses deuils dans la mémoire qui, ainsi que l’a proclamé Albarède, « chevauche en avant de nous ».
Un des derniers textes de ce recueil, plus fort que la nostalgie et la douleur qu’il célèbre, dit simplement ceci :

Ce n’est pas le temps
qui nous vieillit
mais l’absence de ceux
qui nous accompagnèrent.

Essayons donc d’écrire (et de vivre !) à la fois aussi fort et aussi clair…

 Par Roland Nadaus

 

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Une note de lecture d'Odile Bonneel qui a paru dans la revue des centres de documentation et  d'information de l'enseignement secondaire. InterCDI N° 252 de nov-dec 2014.Merci pour sa lecture.

 

 "Entre deux bornes du chemin

une métamorphose s'accomplit"


Métamorphose du chemin - Ed Éclats d'encre

 

 

 

 

 

 

2014 s'achève, que 2015 soit pleine de promesses ! Bonne année!

Lecture croisée de "Métamorphose du chemin". Une rencontre à la médiathèque Florian de Rambouillet animée par Jocelyne Bernard.


29 NOVEMBRE 2014


15h00


Médiathèque FLORIAN de RAMBOUILLET


              ***


Une rencontre lecture aura lieu à la Médiathèque Florian de Rambouillet le samedi 29 Novembre à 15 h. Une rencontre artistique avec la plasticienne Véronique Arnault et moi-même animée par Jocelyne Bernard dans la proximité de "Métamorphose du chemin" éditions Éclats d'encre. Venez Nombreux!

15 NOVEMBRE 2014 - 15 H  GALERIE BANSARD PARIS 7ième

 

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Le 15 Novembre, à 15h je lirai des extraits de "Métamorphose du chemin", à la galerie Bansard, 26, avenue de la Bourdonnais, Paris 75007- Métro École Militaire. Je serai ravi de vous y rencontrer!

 

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UNE NOTE DE LECTURE de JEAN-PAUL GAVARD-PERRET

 

Hervé Martin, Métamorphose du chemin, Eclats d’Encre, 60 pages, Le Mesnil le Roi, 12 €.

 

Hervé Martin ne va pas par quatre chemins : il suit le sien. Sans ambages ou fioritures. Sans lyrisme ou faconde abusive. Son dernier recueil est un petit carnet de silence...

La note est à lire sur le site de e-littérature.com

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Métamorphose du chemin
Métamorphose du chemin

Métamorphose du chemin vient de paraître aux éditions Eclats d'Encre.

Il est possible de l'acheter en ligne sur le site de l'éditeur où une version numérique est également disponible.

 

Le site d'Eclat d'encre

           

 

Métamorphose du chemin -  Edtions Eclats d'encre.

Les éditions ont fermé. Le livre est disponible en me contactant.

 

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------pagnie de plusieurs poètes et artistes des éditions de La Lune Bleue, je serai présent à la Fête de la Lune Bleue le 19 mars, au Pen club France. Je lirai à cette occasion, le poème Au plateau des Glières.

A bientôt!

La soirée anniversaire des éditions de La Lune Bleue
La soirée anniversaire des éditions de La Lune Bleue

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Novembre 2013   -  COMME UNE LIGNE D'OMBRE

 

En collaboration avec le peintre et graveur Marc Giai-Miniet le livre d'artiste "comme une ligne d'ombre "  paraît aux  éditions du nain qui tousse. Accompagné d'une gravure originale signée par l'artiste le livre est tiré à 30 exemplaires. Il est disponible sur demande au prix de 40 € , port d'envoi compris.

Pour acquérir le livre envoyez votre demande accompagnée d'un chèque à : Hervé Martin, 1, rue de La Ferme 78125 Vieille Eglise en Yvelines.

Ou contactez ,  Marc-Giai-Miniet par l'intermédiaire de son site.

 

Marc Giai-Miniet : 

http://www.marc-giai-miniet.com/page35a.html

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Octobre  2013

 

Des poèmes  paraissent ce mois d'octobre dans la revue Le Journal des poètes et la revue en ligne Secousse N°11. ( "Autres métiers" )

 

http://revue-secousse.fr/

 http://www.revue-secousse.fr/Secousse-11/Sks11-revue.pdf

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Des poèmes sont édités ce mois  d'octobre sur le site FUEGO DEL FUEGO de Laurent Bouisset.

 

http://www.fuegodelfuego.blogspot.fr/2013/10/revendication-vivre-et-poeme-de.html

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Véronique Arnault et moi-même  avant la lecture lors du vernissage.
Véronique Arnault et moi-même avant la lecture lors du vernissage.

 

Samedi 15 juin 2013 - Médiathèque de Rambouillet - Lecture à l'occasion du vernissage de l'exposition de Véronique Arnault "Autour de la rose".

 

Mercredi 20 mars 2013
Mercredi 20 mars 2013 - Voyage au bout des doigts

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21 / 12 / 2012 :

 

Le site La pierre et le sel qu'anime Pierre Kobel consacre une page à un poème extrait de J'en gage le corps, par une contribution de Roselyne Fritel:

 

http://pierresel.typepad.fr/la-pierre-et-le-sel/2012/12/un-jour-un-texte-ma-m%C3%A8re-toujours-ma-m%C3%A8re-de-herv%C3%A9-martin.html

 

Une note de lecture de Pol-Jean Mervilllon, sur " J'en gage le corps" dans le magazine de la ville de la ville nouvelle de Saint Quentin en Yvelines.Janvier 2012
Note dans le Petit Quentin 01/2012 - Pol-Jean Mervillon

Printemps 2012    -   Blog de LA QUINZAINE LITTÉRAIRE

 

 

A l'occasion du Printemps des Poètes 2012 la Quinzaine Littéraire a ouvert un blog de poésie. Gérard Noiret et Marie Etienne proposent une anthologie. Une note de Gérard Noiret y présente mon travail :

 

Lien : Le blog de poésie de la Quinzaine Littéraire 

 

 

Je serai présent à la librairie Labyrinthe de Rambouillet le 7 avril pour le vernissage de l'exposition et la présentation du livre "Des poètes dans la nature", ainsi que le  13 avril pour une lecture avec Sophie Loizeau et Pascale Petit.

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Des poètes dans la nature : vernissage

samedi 7 avril à 17h30

Vernissage de l’exposition et présentation du livre Des poètes dans la nature, éditions de l’Amandier, photographies d’Adrienne Arth et textes de Roland Nadaus, Lydia Padellec, Mario Urbanet, Pascale Petit, Sophie Loizeau et Hervé Martin, en présence de la photographe, des poètes et de l’éditeur.

Un mur de l’exposition sera consacré à la Maison de la Poésie, à l’occasion de ses 10 ans d’activités.

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Librairie Labyrinthes
Passage Chasle
Rambouillet


ENTRÉE LIBRE Renseignements 01 34 83 23 38
Verre de l’amitié à l’issue du vernissage.
À noter : Vendredi 13 avril / 20h00
Lecture-rencontre avec Pascale Petit, Sophie Loizeau et Hervé Martin


ENTRÉE LIBRE Renseignements 01 34 83 23 38

 

Parution de:

 

DES POETES DANS LA NATURE

 

Avec des textes de Sophie Loizeau, Roland Nadaus, Mario Urbanet, Pascale Petit, Hervé Martin, Lydia Padellec et des photographies d'Adrienne Arth.

Le livre vient de paraître aux éditions de l'Amandier.

 

Disponible au Parc Régional de la Haute Vallée de Chevreuse et aux éditions de l'Amandier.

 

"Un Parc. Une Maison. trois Réserves. Six poètes. Une photographe. Le tout fait ce recueil de "résidences d'écriture" proposés aux écrivains par le Parc naturel régional de la Haute  Vallée de Chevreuse et de la Maison de la Poésie de Saint Quentin en Yvelines. L'oeil de la photographe Adrienne Arth est venu se joindre aux mots des poètes."

 

ISBN: 978-2-35516-158-2  

IX - 2011  10€

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- Mars 2011 . Le livre    J'en gage le corps    vient de paraître aux éditions de l'Amandier.

 

Le 12 avril en compagnie de nombreux poètes, je serai à la librairie PIPPA dans le 5ème arrondissement de Paris pour fêter les 2 ans des Editions de la Lune bleue. Découvrez ci-dessous l'affiche du programme.


 


La Lune bleue

Créée en 2010 par Lydia Padellec, poète et plasticienne

Programme du 12 avril 2012

 

17h- Présentation de la Lune bleue par l’éditrice et Lectures de Pablo Poblète et de Maximine 

 

18h- Lectures de Monico, Hervé Martin (en présence de Valérie Loiseau) et de Maggy de Coster (en présence d’Irène Shraer)

 

19h- Lectures de Mario Urbanet (en présence d’Alexandrine Lang) et d’Ivan Sigg (des haïkus du recueil de Jeanne Painchaud)  

20h- Lectures de Gérard Noiret, d’Eva-Maria Berg (en présence d’Eva Largo et de Max Alhau) ; présentation du livre et projet Voyage au bout des doigts (en présence d’Arnaud Delpoux, du Collectif KUU, des poètes et artistes participants)

 

A la Librairie PIPPA

25 rue du Sommerard, Paris 5 (M°Cluny la Sorbonne)

www.pippa.fr

 

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Un livre collectif   Voyage au bout des doigts vient de paraître aux Editions de la Lune Bleue.

 

 Le livre rassemble les neuf poètes et les cinq plasticiens qui participent au projet de phar:away. Ivan Sigg et Eric Meyer du collectif KUU nous ont créé une belle couverture recto-verso très colorée. Valérie Loiseau, Marc Giai-Miniet et Christelle Westphal accompagnent de leurs oeuvres (gravure, photo, peinture, graphisme) les poèmes (bilingue) de Myriam Montoya, Pablo Poblète, Maggy de Coster, Hervé Martin, Monico de Miniac, Salah Al Hamdani, Adeline Mercier, Mario Urbanet et Lydia Padellec.

Vous pouvez commander ce livre au prix de 13 euros (+ 1 euro de frais de port) via l’adresse mail de ce site ou sur le site officiel de phar:away (http://pharawaymusic.fr/le-marche/)

 

 

LIVRES PARUS

En collaboration avec Sophie Brassart pour les encres.
D'une vallée perdue à mes jours de mémoire -Ed. Au Salvart

Sur le site Le Pays d'Yveline, Un texte critique de Jocelyne Bernard sur l'ensemble de mes livres.

Sous l'odeur des troènes - Éditions Unicité.
Sous l'odeur des troènes - Éditions Unicité.

Sur le site de littérature colombien Panorama Cultural  quelques poèmes extraits de "Sous l'odeur des troènes " éd.Unicité,  Ils ont été traduits par la poète Maggy de Coster. Un grand merci pour elle !

"Origines du poème "- Éditions Au Salvart

Hervé Martin Digny : En frayant un chemin.

Un carnet numérique.Des notes,notes de lectures, poèmes, chroniques sur des numéros anciens de revues de poésie...

Editions Unicité
Recouvrer le monde suivi de Zone naturelle - Ed. Unicité
Dans la traversée du visage - Ed. du Cygne
Dans la traversée du visage - Ed. du Cygne

     Les livres

Métamorphose du chemin -Disponible chez l'auteur
Métamorphose du chemin -Disponible chez l'auteur
http://www.marc-giai-miniet.com/page27.html
Comme une ligne d'ombre -Disponble chez l'auteur et l'éditeur Marc Giai-Miniet
Au plateau des Glières -Ed. de la Lune bleue (épuisé)
Au plateau des Glières -Ed. de la Lune bleue (épuisé)
J'en gage le corps- Disponible chez l'auteur.
J'en gage le corps- Disponible chez l'auteur.
Et cet éprouvé des ombres - Ed. Henry
Et cet éprouvé des ombres - Ed. Henry
Toutes têtes hautes - Ed. Henry
Toutes têtes hautes - Ed. Henry

   Photographies


Avec Véronique Arnault lors de la lecture de Métamorphose du chemin à la galerie Bansard. 15/11/2014
Avec Véronique Arnault lors de la lecture de Métamorphose du chemin à la galerie Bansard. 15/11/2014
Lecture Galerie Bansard le 15/11/2014
Lecture Galerie Bansard le 15/11/2014
27 mars 2011 - Chateau de Coubertin
27 mars 2011 - Chateau de Coubertin

 

Lecture dans la réserve - 2 oct 2011 -Lydia Padellec & Hervé Martin
Lecture dans la réserve - 2 oct 2011 -Lydia Padellec & Hervé Martin